Documentaire | Les symboles maçonniques de la statue de la Liberté
Publié le 18 Avril 2022
Le titre de ce film documentaire aurait très bien pu être : Mais oui, mais non... Mais oui, mais non... Mais oui, mais non... C'est ce que nous sert le réalisateur tout au long des 45 minutes que dure la vidéo. Oui, il y a plein de symboles, mais bon, ça veut rien dire... Oui, c'est une oeuvre fabriquée par des francs-maçons, mais bon, là non plus, ça ne veut rien dire... En vérité, même si plusieurs personnes, dont le travail porte essentiellement sur la symbologie ont été invitées à participer au film, cela ne change rien. Ils ont beau dire des choses fort intéressantes, cela est balayé d'un revers de main. Mais oui, mais non... Tout comme il parvient à nous expliquer que, finalement, puisqu'il est le porteur de lumière, Lucifer n'est pas Satan. Un brave gars, en somme... Allez, circulez, rien à voir ! Sauf que Satan et Lucifer ne font qu'un. Donc, outre la symbolique maçonnique prestement glissée sous le tapis, ce réalisateur (consciemment ou pas) propagandiste délivre un faux message.
Il est extrêmement difficile de détourner de ses croyances un esprit formaté, lavé. La statue de la Liberté représente la Liberté. Et c'est tout. Point. Que son flambeau éclaire un cimetière de 20 millions de mètres carrés, cela ne le percute pas.
/image%2F4152684%2F20220412%2Fob_820645_native-american-land-0.gif%3Fw%3D300%26h%3D201%26zoom%3D2)
Né en 1748 à Ingolstadt, une ville de l'électorat de Bavière sur les terres de l'Allemagne actuelle, Weishaupt était le descendant de juifs convertis au christianisme. Devenu orphelin à un jeune âge, c'est son oncle universitaire qui prend en charge son éducation et l'inscrit dans un collège jésuite. À la fin de ses études, Weishaupt devient professeur de droit naturel et canonique à l'université de Ingolstadt, il se marie et fonde une famille. Au premier abord, sa carrière était relativement conventionnelle… jusqu'à ce que l'état de Bavière découvre en 1784 ses idées incendiaires.
Une flamme se tient en haut de la Statue de la Liberté, au-dessus de la tombe de JFK, et au-dessus du tunnel où Lady Diana fut tuée. Je vous laisse réfléchir à ça.
Cela dit, ce petit film reste intéressant, comme les prises de vue et les propos de certains intervenants, mais il faut juste le regarder avec un peu de distance.
Pour ceux qui aimeraient creuser un peu le sujet, ces trois articles – très illustrés – déblayent bien le terrain, me semble-t-il : ici et ici ou ici (en anglais)
M.R.
/http%3A%2F%2Ftlio.org.uk%2Fwp-content%2Fuploads%2F2018%2F11%2Fwp-image-105336645.jpg)
1637 Pequot massacre: The REAL Story of the Annual U.S. Thanksgiving
Manataka American Indian Council Introduction for Teachers The Plymouth Thanksgiving Story THE REAL STORY OF THANKSGIVING by Susan Bates Most of us associate the holiday with happy Pilgrims and Ind...
https://tlio.org.uk/1637-pequot-massacre-%E2%80%8Bthe-real-story-of-thanksgiving/
1637 : le massacre de la communauté amérindienne Pequot ; la véritable histoire de l’action de grâce annuelle (Thanksgiving) aux États-Unis. Tout comme Pourim célèbre le massacre de 75 000 Perses. Dans les deux cas, le fanatisme religieux est à noter et à ne pas perdre de vue.
« La pierre angulaire de la Statue de la Liberté fut placée lors d’une cérémonie solennelle de 1884 organisée par les loges maçonniques de New York » (Robert Beauval)
/image%2F4152684%2F20220410%2Fob_d4a1f2_statue-de-la-liberte-et-les-deux-tour.jpg)
Mes vidéos sur :
(Alternatives à YouTube)
https://rumble.com/user/MargueriteRothe
https://www.brighteon.com/channels/margueriterothe
https://www.bitchute.com/channel/t7d7dQcXI6q9/
https://odysee.com/$/invite/@MargueriteRothe:8 (invitation)
(Alternative à Twitter)